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(c) Bonne Pioche / J. Maison - 2004

Chez Kaplan, nous utilisons au quotidien la notion de “Recettes Nettes Part Producteur opposables aux Auteur.ice.s” (“RNPP-A”), qui sont la source de rémunération directe des auteur.ice.s d’oeuvres audiovisuelles ! Il est donc temps de vous en faire un résumé simplifié : 

Contexte : les RNPP-A c’est quoi ? 

Les auteur.ice.s, en contrepartie de l'exploitation de l'œuvre, assurée par le distributeur, pour laquelle ils/elles ont cédé leurs droits, perçoivent une rémunération dite "appropriée et proportionnelle" sur les recettes d'exploitation, d’après l’article L131-4 du Code de la Propriété Intellectuelle. 

L'assiette de cette rémunération proportionnelle est constituée des RNPP-A (RNPP opposables aux Auteurs). L'article 3.B de l'Accord de transparence du 6 juillet 2017, a apporté une définition uniforme et un mode de calcul précis des RNPP-A. 

A quoi ça sert ? 

Comme nous l’avions expliqué dans cet article : https://kaplan.media/fr/blog , un.e auteur.ice peut être rémunéré.e selon deux moyens. Soit par les organismes de gestion collective qui perçoivent et redistribuent les recettes d’exploitation à leurs membres ; soit par le producteur qui prend en charge la rémunération des exploitations non gérées par la gestion collective. 

Les RNPP-A constituent l’assiette de rémunération des exploitations en gestion individuelles. Sur cette assiette sont appliqués les pourcentages préalablement négociés au contrat entre l’auteur.ice et le producteur. Ces quotes-parts de RNPP-A vont permettre de remonter progressivement le minimum garanti de l’auteur.ice ce, tant que l’oeuvre n’est pas amortie. Pour rappel, le minimum garanti constitue une somme versée par le producteur à l’auteur.ice sur laquelle il se rembourse grâce aux remontées de recettes. 

Ok mais concrètement, comment ça se calcule ?

Les RNPP opposables aux Auteurs se calculent de la manière suivante : 

→ Recettes brutes d'exploitation - frais - commissions

Tout “simplement”, on soustrait les frais et commissions aux recettes brutes d’exploitations. 

Les recettes brutes ça comprend quoi ?   

→ Les recettes brutes ce sont les montants encaissés par le producteur, ou un distributeur, au titre des exploitations de l'œuvre. Elles peuvent être de toute nature : ce peut être les recettes d’une exploitation à titre commercial ou non commercial ; quelque soit le support, sur une télévision ou en VOD ; en toute langue ; dans les territoires du monde entier, … 

Attention, ne sont pas des recettes brutes : les aides financières, apports de coproducteurs français, apports de SOFICA, crédit d'impôt, tout autre apport financier finançant l'œuvre.

Mais ce n’est pas tout ! Au delà des recettes brutes, la part en gestion individuelle des montants des préventes ayant servis au financement de l’oeuvre constituent également des RNPP-A sur laquelle l’auteur.ice touche un pourcentage. 

A noter que la part en gestion individuelle d’un minimum garanti de distribution constitue aussi une avance sur les RNPP-A futures liées à l’exploitation, sur lesquelles l’auteur.ice touchera uniquement lorsque cette avance sera recoupée. 

Et la commission ? 

Les commissions sur les ventes rémunèrent le distributeur et sont négociées avec le producteur. Elles sont opposées aux auteur.ice.s dans la limite d’une certain plafond de recettes brutes encaissées pour les exploitations commerciales.  A noter que le plafond varie selon le type d’exploitation, la structure du distributeur, en effet, celui-ci peut être ou non une filiale du producteur et l’apport du distributeur dans le financement de l’oeuvre. 

Pour rappel un distributeur achète des droits d’exploitation et de commercialisation d’une oeuvre pour la vendre et revendre à des exploitants, en France ou à l’international. 

Mais les frais dans tout ça ? 

→ Les frais d'exploitation désignent l'ensemble des dépenses engagées par le producteur ou le distributeur au titre de l'exploitation de l'œuvre. Les frais sont distingués en deux catégories, les frais usuels forfaitisés à 5% des recettes brutes opposées aux auteur.ice.s et les frais opposés au réel (ce n’est donc pas un forfait mais le montant réel des frais). 

Les frais usuels sont : les frais techniques pour l'exploitation (tirage de copies, stockage, … ), les frais d'envoi numérique de fichiers, de transport du matériel, droits de douanes, les frais de promotion et de publicité du film, les frais d'assurance, …

Les frais non usuels sont : frais de création ou d'accès au sous-titrage et/ou doublage, frais non usuels de marketing, de publicité et de promotion de l'œuvre, frais E&O, frais d'adaptation.

À noter que tous les frais et commissions doivent être justifiés aux auteur.ice.s !  

Quel est le rôle de Kaplan ? 

Chez Kaplan, nous calculons, pour nos clients producteurs, les RNPP-A et déterminons les quotes-parts à revenir aux auteur.ice.s après analyse de leurs contrats. 

La question de l’amortissement de l’oeuvre et de son implication sur le minimum garanti de l’auteur.ice depuis les Accords Transparence sera traitée dans un prochain article ! 

Merci pour votre lecture ! 

L’un des nouveaux enjeux de Kaplan dans son rôle de société à mission est la mesure d’impact. Nous avons eu ces mots à la bouche de nombreuses fois et même en interne, cela pouvait être flou. Ce post est l’occasion de faire le point sur ce que nous avons compris de l’impact et comment nous l’avons intégré à notre mission.

C’est un sujet qui peut être technique, sur lequel de nombreuses études existent mais l’idée est d’exposer ce que nous avons retenu :

D’où vient le terme?

L’impact est une notion provenant du domaine de l’Économie Sociale et Solidaire. Une entreprise de l’ESS fusionne intérêt économique et bienfaits sociaux dans son environnement. Dans ce sens, l’impact est le moyen par lequel une entreprise de l’ESS peut mesurer son influence sur son environnement. Il s’agit de définir les impacts souhaités par une entreprise dans son secteur. Au delà des résultats souhaités et mesurables, la notion d’impact englobe des comportements qui sont nés ou qui ont été changés grâce à des actions mises en place. 

Comment le mesure t-on chez Kaplan?

Plusieurs méthodes existent pour définir l’impact mais les principes restent les mêmes. Nous nous sommes aidées de diverses ressources dont celle de l'Avise :

. Définir l’objectif de la mesure : dans le cadre de la mission, Kaplan met en place de nombreuses actions afin de remplir ses objectifs de transparence et de prise de conscience de la RSE dans le secteur audiovisuel mais il est difficile d’en mesurer la portée. L’objectif de la mesure d’impact a avant tout été de déterminer si nos actions ont des effets positifs sur le secteur.

. Préciser les parties prenantes : nous avons établi une cartographie exhaustive de nos parties prenantes pour chacun des trois objectifs statutaires de notre mission afin de pouvoir délimiter les impacts à suivre par la suite. Concernant notre objectif sectoriel qui consiste à favoriser la transparence et le partage des recettes audiovisuelles, nous avons par exemple identifié nos clients comme parties prenantes.

. Préciser les impacts souhaités et non souhaités : nous avons listé les effets voulus et indésirés que nos actions pouvaient avoir. Pour la prise en compte des critères RSE au niveau du secteur, l’un des changements que nous souhaitons apporter est de contribuer à l’amélioration des pratiques de nos clients. Nous souhaitons y parvenir grâce à des mesures incitatives telles qu’une baisse de tarifs applicable dès 2026 pour nos clients engagés dans une démarche RSE.

. Définir des indicateurs de suivi : l’impact se mesure grâce à des indicateurs quantitatifs et qualitatifs. Pour la prise en compte des critères RSE au sein de l’entreprise, nous avons établi un suivi qualitatif de l’impact des actions de sensibilisation sur le changement des comportements des salariés grâce à un questionnaire à remplir par l’équipe. (ex : mise en place d’un bac à compost dans les locaux).

. Collecter les données et mesurer les impacts : les données sont collectées à des fréquences différentes. Par exemple, les indicateurs du bien-être des salariés sont suivis trimestriellement à l’aide d’un questionnaire dont la synthèse est revue en équipe.

Quid de l’impact dans le secteur audiovisuel?

Notre réflexion a été aidée par la rencontre d’acteurs engagés dans la question de l’impact et plus particulièrement des changements sociétaux, législatifs et politiques que peuvent avoir la portée de certains films : 

> Impact Film, société d’investissement qui accompagne les films à portée sociale et environnementale. 

> Citizen 7 Lab qui aide les sociétés audiovisuelles à mesurer l’impact de leur productions.

Leurs travaux sont nécessaires pour comprendre la portée qu’un film peut avoir sur les comportements et même des décisions politiques en France.

Distinguer le principe de gestion individuelle et de gestion collective des droits des auteur.ice.s est essentiel pour comprendre leur rémunération ! 

→ La rémunération proportionnelle de l’auteur.ice

Pour qu’une œuvre audiovisuelle créée par un.e auteur.ice soit exploitée, les droits d’adaptation, de représentation, de reproduction et d’exploitation de son œuvre doivent être cédés à un producteur. Selon l’article L131-4 du Code de la Propriété Intellectuelle, cette cession doit être rémunérée de façon « appropriée et proportionnelle » aux recettes issues de la vente ou de l’exploitation de l’œuvre.

→ Assurée par qui ? 

Deux modes de gestion distincts permettent à l’auteur.ice de percevoir cette rémunération proportionnelle.

D’une part, le mode de gestion collectif est un système par lequel les titulaires de droits confient la gestion de leurs droits à un Organisme de Gestion Collective (“OGC”), comme la SACD ou la SCAM. L’OGC perçoit et redistribue les revenus issus de l’exploitation des œuvres de leurs membres. Ces revenus peuvent provenir de diffusions TV, de visionnages sur des plateformes de streaming, ou de ventes de DVD par exemple. Le périmètre de gestion des OGC est cependant limité, il ne comprend pas toutes les exploitations possibles de l’œuvre.

D’autre part, le producteur doit assurer la rémunération proportionnelle de l’auteur.ice pour toutes les exploitations non prises en charge par la gestion collective. C’est ce qu’on appelle la gestion individuelle.

→ Comment le producteur assure-t-il la rémunération des auteur.ice.s ?

Cette rémunération proportionnelle relevant des modes de gestion individuelle est négociée contractuellement entre l’auteur.ice et le producteur.

Les rémunérations qui lui sont dues sont calculées en appliquant les pourcentages, préalablement négociés au contrat, sur les recettes générées par l'exploitation de l'œuvre et ce, dès la première année. L'auteur.ice en est informé.e par les comptes annuels que le producteur a l'obligation de lui rendre selon l’article L131-7 du Code de la Propriété Intellectuelle.

En audiovisuel, les détails de ce calcul sont régis par les Accords transparence du 6 juillet 2017 grâce à l’intégration de la notion de RNPP-A (qui fera l’objet d’un prochain article).

→ Et Kaplan dans tout ça ? 

Kaplan, en tant qu’expert des Accords Transparence propose aux producteurs un service de gestion complet leur permettant de rendre des décomptes respectueux des textes aux auteur.ice.s en : 

Analysant leurs contrats et les pourcentages appliqués ; 

Calculant les rémunérations proportionnelles ; 

Établissant les décomptes et en leur envoyant.

Pour en savoir plus sur les Accords Transparence nous vous invitons à consulter cet article de notre blog : https://kaplan.media/fr/blog

Kaplan, en tant que société à mission, s’est donné l’objectif de favoriser la transparence et le partage des recettes audiovisuelles. Cela passe par l’amélioration de la compréhension des professionnel.le.s du secteur des mécanismes et enjeux de la répartition des recettes. A travers nos articles nous souhaitons vulgariser certaines notions pour que vous puissiez vous les approprier et les manier correctement. C’est également l’occasion pour vous de mieux comprendre notre métier rare et complexe ! 

Depuis 3 ans, Kaplan réalise son Bilan Carbone grâce à la société SAMI. En tant que société à mission, Kaplan défend la prise en compte des critères sociaux et environnementaux dans les décisions stratégiques des entreprises du secteur et a donc décidé de prendre conscience de son impact sur la planète. Voici le bilan carbone de l'année 2024 !


2023 a été une année de transition pour Kaplan.


Le 6 juillet dernier, Kaplan a fêté ses 10 ans. Entouré de l'équipe, d'amis et de

proches qui ont suivi de près ou de loin l'aventure, l'occasion a été pour Max

d'annoncer son départ.

En 2013, il crée Rightback Film avec une envie profonde, celle de fonder une

société dans laquelle il aurait aimé être salarié. Cette envie sera le pilier des

réflexions qui vont façonner l'identité de Kaplan au fil des années. En 2017 la

société entame sa transformation en "entreprise libérée". En 2019, elle devient

Kaplan et projette de devenir la première société à mission du secteur

audiovisuel.

Dix ans plus tard, le changement le plus structurant arrive, Max décide de son

départ. Mais cette annonce n'est pour autant ni une surprise ni un

bouleversement. Au fil des années, Max a transmis sa fibre entrepreneuriale, qu’il

qualifie lui-même d’utopique. Au final, il réussit le défi qui se pose à tout

fondateur ayant une vision forte : faire exister la boîte sans lui. Aujourd’hui ce

sont deux salariées, Laëtitia et Cathy, qui reprennent la direction. Il est pour

l'instant difficile de dessiner les contours de leur ambition propre car elle est

naissante mais le cap reste le même : celle de faire vivre une société qui inspire le

changement dans le secteur audiovisuel.

Tout en prenant en main ces tournants décisifs, l’équipe n’a cessé de suivre ses

objectifs de missions.

Tour d'horizon en image.

Les accords transparence, c’est quoi ?

Le 12 octobre dernier, une partie de l’équipe de Kaplan a animé une formation sur les accords transparence auprès d’une cinquantaine de juristes et business affairs de Mediawan Studio France.

Cette formation est l’occasion de revenir sur une question clé : les accords transparence, c’est quoi ?

Parler la même langue. En 2015, le ministère de la culture a lancé une concertation pour établir des règles sur la transparence des comptes et des remontées de recettes, communes à l’ensemble des intervenants de la filière audiovisuelle : producteurs, auteurs, diffuseurs et distributeurs. Cette concertation intervenait dans un contexte de succès croissant des productions audiovisuelles françaises à l’international et de méfiance réciproque des différents acteurs. Les accords transparence avaient pour objectif initial de parler la même langue pour pouvoir négocier en confiance sur le partage de la valeur pour les œuvres de fiction, d’animation, de documentaire et de spectacle vivant.

Trois séries d’accords. Cette concertation a abouti à trois séries d’accords signés entre 2016 et 2018 et ensuite étendus par décret pour avoir force de loi :

- Les accords producteurs-diffuseurs-distributeurs dits « accords diffuseurs »

- Les accords producteurs-auteurs dits « accords auteurs »

- Les accords producteurs-interprètes dits « nouvelle annexe 1-B »

Ces accords viennent s’ajouter aux autres textes régissant les relations contractuelles de l’audiovisuel : le droit d’auteur, le code du cinéma et de l’image animée, la convention collective des artistes-interprètes et autres accords interprofessionnels.

Répondre à trois questions. Les différents accords ont permis de répondre à des questions fondamentales. Ces questions étaient jusqu’ici réglées dans des nombreuses pages dans les contrats, après de longues négociations et avec tellement de réponses différentes qu’on finissait par s’y perdre. Les questions principales auxquelles ont répondu les accords transparence sont les suivantes :

- Comment calculer le coût de production d’une œuvre et l’apport financier du producteur ?

- Comment calculer la base de rémunération des différents ayant-droit sur les exploitations des œuvres ?

*Pour les diffuseurs : grâce aux RNPP après amortissement

*Pour les auteurs : grâce aux RNPP auteurs dites « RNPPP-A »

*Pour les interprètes : grâce aux RNPP artistes interprètes ou « RNPP-AI »

- Comment mieux aligner la rémunération des auteurs et des producteurs ? En considérant que l’avance minimum garantie des auteurs est recoupée une fois que le producteur a récupéré ou « amorti » son apport financier.

Le moins mauvais des systèmes. L’application de ces accords n’est pas toujours simple. Ceux dont c’est le métier savent qu’ils posent régulièrement des questions. Mais ils savent aussi qu’ils vont pouvoir se concentrer sur l’essentiel sans se demander quel coût ils vont pouvoir opposer ou si telle vente doit donner lieu à une rémunération pour les auteurs ou les interprètes.

Des accords qui vivent. Ces règles ont vocation à évoluer comme le montre l’accord de 2023 sur les pratiques contractuelles entre auteurs et producteurs de fiction, ou la renégociation en cours de la convention collective des artistes interprètes. Il s’agit notamment de les adapter aux évolutions du secteur telles que la hausse des productions financées par les plateformes, mais ça c’est une autre histoire…

Récapitulatif des accords

·       Accords diffuseurs

·       Premier accords Auteurs, avenants 1 et 2

·       Annexe I B Interprètes

Qui est Kaplan ? Nous aidons les producteurs à collecter les recettes de leurs films et séries et à les répartir auprès des ayants-droit : auteurs, interprètes et partenaires financiers.

Qu’est-ce que la Société à Mission ? Créée par la loi Pacte en 2019, la qualité de Société à Mission est accordée aux entreprises qui fixent dans leurs statuts une raison d’être, des objectifs sociaux et environnementaux ainsi que des mécanismes de contrôle.

Mais encore ? C’est ce que découvre le personnage incarné par Tom Cruise dans « Jerry Maguire » lors d’une nuit de remise en question sur sa vie et sa carrière. Il rédige un « Mission Statement » où il propose à son entreprise de renouer avec les raisons qui l’ont fait choisir son métier d’agent de sportifs : la passion du sport et l’attention portée aux clients. Il finira par se faire virer, le monde n’était pas prêt.

Quelle est la mission de Kaplan ? Notre mission est composée de notre raison d’être « Être un acteur du changement dans le secteur audiovisuel » et de trois objectifs fondamentaux :

·      Favoriser la transparence et le partage des recettes audiovisuelles

·      Favoriser le bien-être au sein de l’entreprise

·      Intégrer les critères sociaux et environnementaux dans les décisions de l’entreprise

Pourquoi cette mission ? Ce choix s’inscrit dans l’évolution naturelle de l’entreprise. Nous sommes animés par une passion commune pour les films, les séries et ceux qui les font. Nous avons le souci constant de la rémunération juste et équitable de l’ensemble des parties prenantes des productions. Nous considérons comme fondamental le bien-être des salariés comme l’illustre la transformation de la société en 2018 en Entreprise Libérée, un modèle d’organisation qui repose sur la confiance, la liberté et l’épanouissement individuel.

Qu’est-ce que ça va changer ? Nous souhaitons mener plus loin les changements au sein de l’entreprise et dans le secteur en collaboration avec nos parties prenantes, représentées dans notre Comité de Mission par :

·      Laëtitia Aunet, salariée de Kaplan

·      Valérie Bourgoin, directrice de l’audiovisuel au CNC

·      Matthieu Daum, fondateur du cabinet de conseil en organisation Nexus

·      Jérôme Dechesne, délégué général adjoint de l’Union Syndicale de la Production Audiovisuelle

·      Denis Goulette, ancien délégué général de la Guilde des Scénaristes

La société à mission consacre une nouvelle vision de l’entreprise au service de l’ensemble des parties prenantes que sont ses salariés, ses clients, ses partenaires et ses actionnaires. Nous privilégions les objectifs de notre mission sur les considérations financières, convaincus que cela assurera la prospérité de Kaplan à long-terme.

Et pour conclure ? Nous souhaitons participer à un mouvement général positif qui cherche à améliorer notre modèle de société. Le secteur audiovisuel y a toute sa part.